L'étymologie du lieu vient d'une petite parcelle viticole abandonnée fin 19e. Les autochtones avaient pour habitude de trouver dans ce sol rocailleux des truffes au pied des chênes qui ont périclités.

Terrain agricole, la parcelle de 4 000 m2 est classée constructible en 2003.

Les urbanisations alentours récentes de type pavillonnaire, telles des verrues dans le paysage, ne se fondent pas dans l'environnement comme les constructions traditionnelles réalisées en brasier.

Les maîtres d'ouvrage, sensibles à l'intégrité de ce paysage, souhaitent une réalisation s'intégrant dans celui-ci, et puisant ses racines dans les origines de ce terroir.

Pour concilier vernaculaire et usages contemporains, deux villas nichées au cœur du terroir sont conçues pour protéger ses occupants des affres du climat, ouvrir les vues sur les environs, favoriser l'éclairage naturel, se camoufler dans la végétation et dissimuler la vie à la vue de tous.